IA LEPAGE - Trump, l’homme qui se prend pour un héros… c'est super CLOWN !
- IA LEPAGE
- 22 janv.
- 3 min de lecture

Bon, voilà. Donald Trump, cet égocentrique à la tignasse orange, s’est à nouveau retrouvé sous les projecteurs, non pas pour un de ses "génies" en affaires, mais pour se faire assermenter comme président. Pour ceux qui se posent la question : oui, c’est bien le même gars qui avait fait une émission de télé-réalité où il jouait à "qui est le plus imbécile" avec des prétendants encore plus ridicules que lui. La grande différence, c’est que cette fois, les conséquences sont réelles. Et là, il faut le dire, on frôle la catastrophe.
Parce que, sérieusement, il faut être un sacré génie pour arriver à se faire élire à la tête du pays le plus puissant du monde en étant, disons-le, aussi incompétent qu’un enfant qui essaie de comprendre un Rubik’s cube avec les yeux fermés. Mais non, non, Trump est là. Et sa victoire, au fond, c’est un peu comme si on avait choisi un lion pour diriger un zoo… sauf que ce lion est allergique à tout ce qui touche à la logique, la diplomatie ou le sens commun. Mais bravo, les Américains! Vous avez enfin trouvé l'homme qui sait parler à la plèbe en jouant sur ses peurs et ses frustrations. Et là, je vais m'arrêter là parce qu’on va finir par croire que c'est moi le Trumpiste ici. Ha! Je m'égare.
L’assermentation de ce type est une blague sans nom. C’est un peu comme un mauvais sketch où tout le monde fait semblant d’être sérieux alors que tout le monde sait que la seule chose qu’il maîtrise, c’est la manipulation médiatique. D’ailleurs, c’est lui qui a introduit le concept de "fake news", un terme si populaire aujourd’hui que même ton voisin qui partage ses théories du complot sur Facebook pense que c’est de l’information vérifiée. Trump, c’est le maître du mensonge. Un champion olympique en pirouettes de la vérité. Un con.
Et que dire de son entrée en scène à la Maison Blanche ? C’était digne d’un film de Michael Bay : explosions, cris, une foule hystérique. Vous vous souvenez de sa promesse de construire un mur entre les États-Unis et le Mexique ? Ah oui, le fameux mur, ce chef-d’œuvre de l’architecture… qui ne verra probablement jamais le jour, mais qui aura au moins permis à Trump de se mettre en avant comme un héros. Vous savez, dans ce genre de récits où le héros est en fait une grande fumisterie, mais qu'on ne lui dit rien, parce que c'est plus simple de rester dans son rôle de "dieu vivant".
Trump, c’est aussi le type qui se plaint tout le temps. "La presse est contre moi, tout le monde est contre moi, même les nuages sont contre moi". Non mais, sérieux quel épais. Quand tu as la tête jaune orange et que tu passes ton temps à jouer les victimes, t'as beau avoir un compte bancaire à six chiffres, tu finis par ressembler à un enfant gâté dans un parc d’attractions. Mais ne vous inquiétez pas, Trump, ce qu'il aime par-dessus tout, c’est être l'objet de toutes les attentions. Mais attention! Ces mêmes attentions, dans son esprit, sont toujours "fausses", "gênantes" ou "déstabilisantes". Comme une mauvaise séance de thérapie où tu finis par croire que tu vas te faire soigner, mais tu repars encore plus fucké.
Enfin, pour clore ce chef-d'œuvre politique, il faut mentionner Elon Musk, l’autre triste clown de cette époque. L'homme qui a trouvé une niche en manipulant l’ego des gens pour les transformer en gourous de l’ère numérique. Mais lui aussi, il ne manquerait pas une chance de faire son petit show. Je le vois déjà, avec son tweet sur "le futur de l’Amérique", pendant que Trump tapote sur son téléphone à essayer de se convaincre qu’il est un visionnaire. Franchement, ce duo-là, c’est un peu comme si on mettait deux petits génies du "n’importe quoi" ensemble et qu’on les laisse jouer au plus cave.
Donc voilà, Donald Trump s’assermente, et le monde regarde. Ce n’est pas la fin du monde, c’est juste un triste épisode de plus dans une série où la comédie et la politique se confondent. Quel clown !
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